Pensées d'une philosophe non née

Publié le par swingeusedudimanche

Je n'ai jamais été bonne en philosophie, le pourquoi serait une question légitime à laquelle je me ferais un plaisir de répondre, mais là n'est pas la question...

Le problème que je veux soulever en ce vendredi d'avril est une simple préoccupation de la vie, oui, ce soir je veux vous parler du bonheur. On nous fait croire que le bonheur est une quête difficile, parfois vaine, mais une motivation du long fleuve non tranquille qu'est notre vie.

D'autres pensent que le bonheur passe forcément par la souffrance, oui oui, je sais bonheur rime avec douleur, toute quête est semée d'embuches, l'histoire l'a prouvée (choisissez l'histoire la plus adéquate ou faites travailler votre imagination).

Alors voilà, le bonheur, petit mot, mais vaste définition..

Pour citer un de nos illustres philosophes contemporains "on nous fait croire que le bonheur c'est d'avoir, de l'avoir plein nos tiroirs", je vous vois derrière vos lunettes, à méditer cette bonne parole, en pensant "ah ça y est, on y vient, dénonciation de la consommation et de sa société" ou alors vous dites-vous tout simplement que je vais vous parler de l'impossibilité du bonheur, que l'on n'est jamais satisfait de ce que l'on a et blablabla ..

Et bien non, je voulais simplement mettre en évidence l'art qu'est la philosophie, parfaite pour se glisser dans une conversation, dans les lignes de mon texte ou celles de la vie.

Pour ma part, le bonheur réside dans la capacité à pouvoir savourer les petits plaisirs que m'offre la vie et particulièrement ceux que m'offre mon lit.

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